Bovins de boucherie Une demande moins soutenue
La faible activité commerciale est habituelle à cette période de l’année, entre la fin du mois de juin et au début de juillet. Les acheteurs ne manifestent pas de grands besoins mais les disponibilités en face ne sont pas non plus très étoffées.
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Dans le domaine des femelles de haut de gamme, les transactions sont un peu plus calmes. Les boucheries traditionnelles, qui gèrent leurs stocks en fonction des départs en vacances, réduisent leur demande. Sur les marchés, l’offre est suffisante mais les tarifs se maintiennent parmi les blondes d’Aquitaine, limousines, aubracs ou salers. À Cholet, les limousines U= se valorisent autour de 4,65 € et les blondes d’Aquitaine U= se négocient à 5,10 € de moyenne.
Les bonnes charolaises U se maintiennent entre 4,10 et 4,20 € tandis que les vaches R partent entre 3,80 et 4,10 € à Cholet. À Sancoins et à Saint-Christophe-en-Brionnais, une baisse est observée du côté des génisses de conformation R. Leurs cotations perdent entre 0,10 et 0,20 €.
En réformes laitières, la tendance est à la stabilisation des prix sur un marché à l’équilibre. Les prix des bonnes vaches prim’holsteins P+/O– se situent entre 3,10 et 3,17 €. La majorité des vaches P=2 ou 3 avec du poids se négocient entre 2,95 et 3,05 €.
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